« J’étais sur le pont Solferino. Il était super tôt le matin, je fumais une cigarette et là, il y a un taxi qui s’arrête, et un homme en costar noir qui en sort. Ce dernier se dirige vers le pont et se met face à la Seine. Il avait l’air pensif. Puis, il sort une urne avec des cendres funéraires. Il jette les cendres qui s’éparpillent partout dans la Seine, il prend deux photos retourne dans son taxi et part. J’ai trouvé ça triste comme situation, pas d’émotion dans son geste, ce n’est pas une situation que j’aurais imaginé à Paris en tous cas. »